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L’amour est beau comme une couleur azur
A deux, il nous lie, il nous rassure
L’amour donne des ailes, comme une hirondelle
On vole au dessus de tout, sans nacelle
L’amour est beau comme une fleur
Il donne du baume au cœur
L’amour est essentiel, tout le temps
Mais il faut qu’il dure longtemps
Car,
L’amour des premiers jours, excitation
Un amour de désir, de passion
Il nous fascine, nous intrigue
Mais,
Après quelque temps, il nous fatigue
Nous vide de toutes nos sensations
De tendresses, de caresses et de compassions
Il peut renaitre de ses cendres
Affaiblit, aguerrit et plus tendre
Il peut durer pour l’éternité
Si on étudie toutes les possibilités
Avec quelques concessions, une communication
L’amour revient plus beau, referme les blessures
A deux, il nous lie, il nous rassure
L’amour se mesure sur la durée
L’amour peut être un cadeau
Mais,
Parfois il peut devenir un fardeau
On dit « quand on aime, on ne compte pas »
On dit aussi : « il faut donner pour recevoir »
Alors les secondes, les minutes les heures et les années d’amour
Ne sont que du bonheur, profitez sans calculs ni détours
Je dis souvent : "Regardez, observez autour de vous, le bonheur,
Est,
Peut être à coté de vous, mais vous êtes souvent, aveuglés
Par les aprioris, « les rumeurs », les préjugés
Que,
Parfois, il faudrait regarder avec le cœur "
Le don de soi
Avant de mourir penser à l’autre
Qui attend dans une chambre d’hôpital
Il prie et éspere qu’un jour ou l’autre
Vous lui donnerez un peu du votre
Oubliez vos apprehensions, vos préjugés
Pensez plutôt espoir et gaïté
Surtout avant de nous quiter
Ne faites pas attention à ce qu’on dira
Ecoutez de l’au-delà
Ce que le docteur dira « il vivra »
C’est vrai, votre corps ne vous appartient plus
Mais il a servi à une bonne cause
C’est vrai que ce n’est pas un dù
Mais dites-vous quelle belle chose
Que d’aider son prochain, tendre la main
Sans penser à demain, sans penser à rien
Juste aider, juste secourir, pour ne pas mourir en vain
La mort est atroce quand elle est proche
Mais sentir le vie dans autrui
Avant le grand saut
Ce ne peut être que beau
Ce ne peut être qu’extraordinaire
Les souvenirs
Par moment,
On se rappelle des jours paisibles ?
Des bons souvenirs, inoubliables
A l’écart des personnes nuisibles
Des moments personnels, non négociables
Ou,
Le bonheur à un parfum de fraise
On se sent bien, « à l’aise »
Tout parait simple, envisageable
On oublie les autres, égoïste, mais si agréable
Un instant magique, immuable
Pourquoi s’en priver, impensable
On peut rêver, se laisser aller
Sur une épaule, « un ventre douillé »
On se rappelle des instants mielleux ?
Ou,
Le bonheur sent la rose, à deux
Tout est possible, même l’invraisemblable
On se retrouve sur un nuage, incroyable
On ne veut pas redescendre
On préfère, toujours, attendre
Car, On ne veut pas interrompre
Un instant précieux, et tendre
On se souvient des moments sucrés
Ou,
Le parfum des souvenirs à une odeur eternel
Il suffit de penser à cet instant passionnel
C’est inéluctable, le parfum resurgit
Avec plaisir, on se remémore ce moment de la vie
Ou,
Les parfums, les endroits, le plaisir et les souhaits
Nous poursuivent, avec nostalgie, parfois, des regrets
Mais, souvent, avec des secrets bien gardés
Je commencerais par oublier
Par donner, pardonner
Si je pouvais tout changer
Je reprendrais les humains
Je leur donnerai un autre dessein
Pour qu’ils dessinent un autre destin
Si je pouvais tout changer
Je supprimerais les maladies
Les catastrophes, les on-dit
Si je pouvais tout changer
J’enlèverais tous métal précieux
Tous billets pour éviter des envieux
Si je pouvais tout changer
Ou changer une partie
Je prendrai mon envol
Je volerai au-dessus des prairies
Pour redonner de l’espoir sans alcool
Si je pouvais tout changer
Je prendrai et remplacerai
Les violences, les souffrances
Passées, présentes, futures
Par de l’amour, de la fraternité
De l’amitié, de l’humanité
Si je pouvais tout changer
Ce serait une grande responsabilité
Ce monde à trop souffert
Certains en sont très fiers
Les mentalités ne changeront pas
C’était juste un rêve, une utopie
Mais,
Je garde espoir, pour les autres tant pis
Les personnes âgées
Parquées comme des animaux
Souffrant de tous les maux
Oubliées comme de vulgaires chiffons
Perdues dans des endroits à l’abandon
Les personnes âgées sont malheureuses
On n’écoute pas leurs plaintes
On ne fait pas attention à "elles"
Elles vivent souvent dans la crainte
D’êtres humiliées ou frustrées
D’êtres molestées ou délaissées
D’êtres agressées ou blessées
Dans des maisons de retraite
Très souvent mal adaptées
Acceuillant un maximum de retraités
Afin d’accumuler suffisament de traites
Faire des benefices, c’est important
Car ils ne travaillent que pour cela
Ils oublient que ce sont des êtres humains
Qu’il faut leur tendre la main
Pour les guider, mais doucement pas à pas
Car il ne nous faudra pas lonbtemps
Pour être sur le même chemin
Esperons seulement qu’à ce moment
Les maisons de retraite, et leurs gens
Penseront humanité, plutôt qu’argent
Un adolescent, souvent, ne fait que fuir
Devant les filles, et on le traite « de peureux »
Car,
Aimer quelqu’un, et ne pas le lui dire
C’est ce qu'il y a de plus douloureux
Mais,
Ce n’est pas facile, la timidité, parfois l’emporte
Il faut absolument que cela sorte
Pour ne pas rester malheureux
Afin,
D’éviter de se poser des questions sans réponses
Et on ne sait pas à quoi les filles pensent
Car si,
L‘adolescent ne leur pose pas la question
Et reste muet avec des peurs et des appréhensions
Il faut qu’il ose, même si la réponse est non
Puisque,
Une fille parfois, est en attente
Alors l’adolescent doit saisir sa chance
Il y aura peut être un "oui" en récompense
Même si c’est pénible de franchir le pas
De toute façon ce sera moins dur que de rester « à plat »
Les vacances d’été
Allongé sur le sable
Le soleil brule la peau
Une brise, une caresse agréable
Sur le ventre, ou, sur le dos
Le sable est si chaud
Le bruit des vagues est si beau
Que les ennuis s’évaporent
On souhaite que ça dure, encore et encore…
Le réveil est en veille, « le monstre »
On ne porte plus de montre
On ne connaît plus les jours
On se croit libre pour toujours
Penser travail, c’est assez rare
On se couche, souvent, très tard
On se lève quand on veut, heureux
Même, avec « de petits yeux »
Ne rien faire, c’est fabuleux
Ne faire que ce qui nous plait
Seul, mais c’est mieux à deux
Manger, bronzer, dormir…euh !
A la plage ou à la montagne
Dans le sud ou en Bretagne
Ou en dehors de nos frontières
Toujours, un endroit pour nous plaire
Tout cela, c’est l’été, on peut tout oublier
Les problèmes envolés
Les factures ignorées
Ne faire que bronzer, manger et rêver
Rêver, en étant éveiller, quel pied !
A chaque fin de strophe fermez les yeux
Et laissez aller votre imagination
Nager la tête au-dessus de l’eau
À l’horizon, aucun bateau
Les vagues balaient le rivage
L’eau scintille sur le visage
Un ciel bleu, une mer calme
Une couleur turquoise, un sable fin
Une eau claire, mettre des palmes
Aller sous l’eau, jouer au sous-marin
Ne penser à rien, oublier les soucis
Ne penser qu’à se détendre, rire
S’allonger sur le sable, rester ainsi
Regarder le ciel, et se dire
« Quel pied ! Ne rien faire, que rêver
C’est un paradis, un vrai bonheur »
Boum ! Boum ! Boum ! Fait le cœur
Car il faut se réveiller, sans oublier
Quand on veut, on peut voyager
Ouvrez bien grand les yeux
Autour de vous, il y a
Que boulot et tracas
Alors de temps en temps
Pour oublier, évadez vous
Refermez les yeux et laissez-vous
Porter à travers les cieux