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La vieillesse
Quand on devient vieux
Comment doit on faire ?
Pour rester heureux
Quand on devient vieux
Comment doit on faire ?
Pour être au mieux
Quand on devient vieux
Comment doit on faire ?
Pour ne pas finir malheureux
Quand on devient vieux
Comment doit-on faire ?
Pour ne pas être anxieux
La mort nous guette
La mort nous inquiète
La mort nous épie
La vie nous fuie
Quand on devient vieux
Est-ce qu’on nous oublie ?
Comment doit-on faire ?
Pour rester d’aujourd’hui
Quand on devient vieux
Comment doit-on faire ?
Quand on devient vieux
Comment doit-on faire ?
Pour rester prés des siens
Pour décider de son destin
Quand on est vieux
On devient peu à peu
Victime du temps qui passe
On cédera, hélas, notre place
Avec, forcement, de l’amertume
Avec une âme devenue poids plume
Il ne restera de nous
Qu’un parfum de passage
Que le vent balayera d’un coup
On naît, on vit, on meurt
On ne garde que souvenirs et pleurs
Car nous tous sur terre
Notre passage est éphémère
Pour prouver leur passage
Certains veulent laisser une trace
Ils éliminent les autres races
Et c’est un véritable carnage
Ils construisent des mirages
Attaquent tous les villages
Des gens de tous âges
A nous de comprendre le message
Ce monde est très sale
Il porte des fruits pourris
Qu’il faut éradiquer à tout prix
Sinon ce sera fatal
La vie est un sentier
Ou il faut être aux aguets
Car chaque instant
Peut être important
La famine fait des ravages
La violence fait rage
La guerre fait des orphelins
La paix crée des liens
Alors soyons malin et donnons-nous la main
Les nombreux conflits entre les races
Peuvent devenir une menace
Pour l’équilibre de la terre
Car les humains sont restés primaires
Leur volonté de nuire
Leur volonté de détruire
Aucune partie ne veut construire
Les humains ne font que mourir
Les humains sont des irresponsables
Ils fabriquent, tous, des armes
Qu’ils utilisent contre leurs semblables
Provoquant des cris, des larmes
Semant la terreur, la désolation
Posons-nous la question ?
Sommes-nous de la même race ?
Que sommes-nous ?
Un virus nous paralyse
Les médicaments nous détruisent
Un malaise nous fait vaciller
Nous avons du mal à nous réveiller
La pensée du cancer, nous terrorise
Les médecins, les chirurgiens nous épuisent
Nous vivons dans une réelle psychose
Car, serein, nous sommes peu de chose
Une simple poussière, un coup de vent
Nous balaie de cette terre, sans sommation
Du jour au lendemain, disparition
Comme si, nous n’avions jamais étés présent
Que sommes-nous ? Certes, un être humain
Qui sait, qu’il a un début, une fin
Mais, ne sommes-nous pas ? Comme diraient certains
Un moustique que l’on écrase d’un geste de la main
Un jour, vivant, le jour suivant, plus rien
La nature
Le bonheur se déguste chaque jour
Le malheur détruit sans remords
Profitons de chaque instant béni
Que nous offre la vie
Il ne faut jamais vous ôter de l’esprit
Que c’est juste un moment de répit
Et que la nature n’oubliera pas
De nous ramener vers le bas
Afin de nous démontrer que depuis toujours
Depuis la nuit des temps, la nature ne permet pas
Que l’on se moque impunément, qu’on lui joue des tours
Il ne faut pas nous croire immortel
Il ne faut pas nous croire essentiel
La nature peut se passer de l’homme
L’homme ne peut se passer d’elle
C’est pourquoi, lui couper les ailes
Peut, parfois, nous rendre comme des mômes
Imprudents, apeurés, impuissants
Protégeons-nous du profit
Réduisons notre appétit
Profitons de la vie
Sans nuire à autrui
La solitude
Délaissé par la vie
Pour seul compagnie
Une bouteille de rouge
Mendiant aux passant
Une pièce ou deux
Le trouvant agaçant
Le rejettent en grimaçant
Le solitaire retourne à son feu
Car le vert libère les fuyards
Et empêche le malheureux
De retenir leurs regards
Car son lot quotidien
C’est mendier en vain
Sans répit et sans fin
Une pièce ou un pain
Pour stopper une faim
Qui le terrasse dés le matin
Finalement, le solitaire
A des besoins primaires
Comme nous tous sur terre
Il a besoin de manger
Cela à l’air de nous déranger
Le bonjour
Le bonjour, ce n’est qu’un mot
Il doit rester précieux, à nos yeux
Arrêtons de faire les beaux
Nous ne sommes pas des bœufs
Celui qui ne dit pas bonjour
Il y viendra un jour
Sans échappatoire, sans détours
Le bonjour doit être naturel
Le bonjour doit être habituel
Le bonjour doit être sincère
Le bonjour doit être clair
Le bonjour doit être sans calcul
Car c’est vraiment ridicule
De ne pas se servir de ce mot
Pour éviter d’être idiot, nul
Sommes-nous des animaux ?
Le bonjour vient de l’intérieur
Le bonjour ne fait pas peur
A ceux qui ne disent pas bonjour
A ceux qui ignorent ce mot
A ceux qui oublient toujours
A ceux qui tournent, souvent, le dos
Toujours se battre
En sommes-nous conscients ? La vie est extraordinaire
Il y a des personnes qui ne pensent à « se foutre en l’air »
Pour, parfois, de bonnes raisons, est-ce nécessaire ?
Sur terre il y a de la place, il y a de quoi faire
Même si quelques fois c’est la galère, la misère
Ne jamais reculer, une fois par terre, se relever et combattre
Car la nature ne fera pas de cadeaux, elle est trop fière
Ne jamais céder, toujours résister, contre vents et marées
Le complexe
Je suis votre compagnon pour la vie
Pour sur, il en faut des années
Pour que l’on m’oublie
Ou pour me jeter dans un puits
Mais je finis toujours par revenir
Pour pourrir le quotidien
Des personnes crédules, c’est certain
Afin de gâcher leur avenir
Je peux être plusieurs complexes
Un complexe d’infériorité
Mettre ma victime au-dessous des autres
Lui faire croire qu’elle n’est rien d’autre
Qu’un insecte qu’on peut écraser
Cela me procure un plaisir diabolique
Je suis un peu machiavélique
Je peux être un complexe physique
Je rente dans la peau des gens
Banal, « pas intelligents »
Je me place derrière la glace
Je ne leur montre que le coté face
Les gens sont pris de paniques
Ces gens bizarres, atypiques
Me regardant d’un air ahuri
Poussant des cris de furie
A rendre sourd, quelle folie
Moi, je me montre sous un beau jour
Sans détours, ni discours
C’est reparti pour un tour
Car pour ces gens, il n’y a pas de recours
Juste un appel au secours
Ah ! Le complexe, je suis compliqué
Grâce aux humains, je vis
Après eux, je vivrais encore
Je suis éternel, êtes-vous d’accord ?
Même des siècles après votre mort
L’été
Allongé sur le sable
Le soleil brule la peau
Une brise, une caresse agréable
Sur le ventre, ou, sur le dos
Le sable est si chaud
Le bruit des vagues est si beau
Que les ennuis s’évaporent
On souhaite que ça dure, encore et encore…
C’est l’été, on peut tout oublier
Les problèmes envolés
Les factures ignorées
Ne faire que bronzer, manger et rêver
Quel pied !!!
Le réveil est en veille, « le monstre »
On ne porte plus de montre
On ne connaît plus les jours
On se croit libre pour toujours
Penser travail, assez rare
On se couche, très tard
On se lève quand on veut, heureux
Avec « de petits yeux »
Ne rien faire, c’est fabuleux
Seul ou à deux, faire ce qui nous plait
C’est l’été, on peut tout oublier
Les problèmes envolés
Les factures ignorées
Ne faire que bronzer, manger et câliner
Quel pied !!!
A la plage ou à la montagne
Dans le sud ou en Bretagne
Ou en dehors de nos frontières
Toujours, un endroit pour nous plaire
C’est l’été, on peut tout oublier
Les problèmes envolés
Les factures ignorées
Ne faire que bronzer, manger et rêver
Quel pied !!!